CADEAU GRATUIT TOUS LES JEUDIS #lachronique

image couverture chronique tresor cadeau pour la sante

CADEAU GRATUIT TOUS LES JEUDIS #lachronique

Allez hop, on lit !

(C’est pour votre santé que je dis ça…)

Jeudi 5 heures #25/04/2024
Ceci n’est pas de la pub, je le dis tout de suite :

c’est juste un truc dont je viens de prendre conscience. Mais dès qu’on parle cadeau, on pense qu’est-ce qu’il y a derrière?

Il y a moi, c’est tout. Voilà.

Vous êtes donc toujours au même endroit, dans ce petit bout de ma tête qui parle. Les habitués me connaissent, et pour les nouveaux : bienvenue chez moi !

 

Ce matin, il s’est passé un truc qui m’arrive de temps en temps, quand mon esprit est préoccupé sur son petit vélo qui tourne en rond : on dirait que le vélo s’échappe pendant la nuit et qu’il trouve la solution tout seul. Merci moi, c’est cool. J’apprécie ce ménage intérieur automatique, le matin au réveil.

 

 

Faire offrande

 

(Ça ne se dit plus trop, offrande, mais en sous-titre, cadeau ça n’allait pas)

Donc ce matin, cette évidence :

Cette newsletter que je publie tous les jeudis, c’est plus qu’une simple chronique qu’il faut écrire toutes les semaines, plus qu’un exercice de style, un passe-temps, une thérapie ou une tentative marketing, et au-delà du petit extrait littéraire que ça représente forcément (il faut bien juger de l’écriture de celui qui écrit, pour voir).

 

Non, j’y dépose plus de valeur que ça, et je ne me prends pas pour Musso ou Grimaldi — ahhh je ne sais pas comment le dire, tant pis je continue.

C’est pas que pour produire¹ une newsletter, donc), c’est un petit bout de moi dedans (c’est quand même super intime et ça m’a longtemps… tracassée / perturbée, d’où mes propres prétextes à la con, aussi).

 

 

Faire humain

 

Ce matin, devant mon café, mon évidence et mon ordi, j’avais commencé ma chronique avec ces mots :

« C’est un cadeau que je vous offre tous les jeudis, oui vous avez bien lu, un cadeau tous les jeudis, et bien gratuit. Un vrai cadeau — Attendez, j’ai un truc à lui dire, à l’autre, là… (Toi, le syndrome de l’imposteur, tu retournes dans ta chambre, tout de suite !)

Et non ce n’est pas de la pub avec un truc derrière, c’est de l’humain et l’humain c’est moi. »

 

Et comme tous les humains, malgré l’ombre, les pieds sur terre et les doutes, je sais que je continuerai à lancer mes mots comme le pêcheur lance sa ligne, dans ce grand bain quantique du monde.

Je n’aime pas déranger dans les boîtes mail. Alors j’ai créé une newsletter courte (enfin, à la base…) et hebdomadaire, pour offrir au lecteur un petit texte comme une tasse de lecture.

 

Une tasse de mots (et de maux) qui nous relie, mine de rien, chacun de notre côté sur nos écrans, des mots qui nous parlent forcément. La nature humaine est là, avec ses griffures, ses souffrances, ses absences, mais aussi cet instinct de solution, et cette volonté de joie.

Œuvrer pour la sauvegarde d’un certain enthousiasme, voilà, c’est ça, je vous offre un peu d’enthousiasme en mots, et en photos !

 

citation rabelais les joyeux guerissent toujours

 

Faire lien

 

Je reste persuadée qu’on n’a jamais eu autant besoin de mots (et d’enthousiasme) que maintenant :SMS et mails dépersonnalisés, déshumanisation croissante de nos vies sociales (nous SOMMES des mammifères SOCIAUX !), la lente et triste rupture du lien… social.

Car c’est ce qu’ils font, les mots : du lien, et du bien.

 

Je reste persuadée que lire, ça sauve la vie, la vraie, celle qu’on perd parfois bien avant de mourir, vous savez, quand on devient tout gris dedans et que tout nous fatigue, même ce qu’on aimait hier. Dommage, non ?

Alors qu’il y a juste, pas loin, quelques simples petits mots… qui pourraient nous réconforter, et que peut-être ça irait mieux après, parce que :

 

On n’est jamais vraiment seul

quand il y a des mots quelque part.

 

Moi, c’est comme ça que je me sens vivante : quand je les dis, et que je les écris.

« L’auteur encore un peu dentiste, qui vous soulage de vos mots dedans », j’ai trouvé ça cette semaine, pour définir mon activité sur LinkedIn (mes projets de bibliothérapie). J’en ris mais c’est tellement ça : écrire pour se soulager des mots dedans.

 

 

« Elle fait du bien dis-donc, cette petite chronique ! »

 

Oh merci, c’est une phrase que vous m’avez dite, au début, et qui m’a beaucoup touchée, j’y repense souvent (vous voyez que les mots font du bien).

Cette chronique me fait d’abord du bien à moi (j’adore l’écrire, la relire, la reformuler, choisir mes mots, pour enfin la partager).

Mais écrire, ça fait surtout du bien à lire.

 

Du bien à lire.

 

Et ce matin, j’ai pensé : « waouh je fais une chronique qui fait vraiment du bien ! » Car elle est assurément là pour ça : pour que vous vous sentiez vivant, pour que vous sachiez que vous êtes tout à fait normal et que vous n’êtes pas seul à penser comme ça.

Et enfin (je ne me lasse pas de le dire), pour que vous vous rendiez compte que vous êtes aussi formidable que d’autres.

En marketing ils appellent ça la valeur ajoutée : « C’est quoi ta valeur ajoutée ? », punaise ça fait six mois que je me pose la question – j’en sais rien, on est des millions à écrire, qu’est-ce que j’ai de plus que les autres ? – jusqu’à ce matin.

La réponse : j’ai mes mots, et je les ai transformés en cadeaux qui font du bien, et ça, c’est fantastique !

 

 

Les 9 bienfaits établis de la lecture

 

La science le dit : lire empêche de devenir (trop) con – enfin elle ne le dit pas comme ça, mais c’est établi.

Voici un tout récent article², juste, synthétique et avec une bibliographie de qualité. Comme il dit, « en bord de plage ou au coin du feu, il y a toujours un bon moment pour lire un livre ». Petit résumé des bienfaits de la lecture :

  • C’est un plaisir (bienfait principal),
  • C’est une source d’amélioration des connaissances générales,
  • Elle développe et améliore l’orthographe,
  • La littérature augmente l’intelligence émotionnelle, en nous faisant utiliser notre interprétation pour comprendre les personnages,
  • La lecture améliore les capacités d’empathie, et par conséquent les relations sociales,
  • Anti-stress, relaxant, régulation de l’humeur. L’effet de la lecture est comparable à celui d’un bon massage ou une tisane : régulation de la tension musculaire et du rythme cardiaque. Le fait de se concentrer sur le texte provoque une baisse de l’anxiété et peut, à terme, améliorer l’humeur,
  • La littérature maintient le cerveau en forme : moins de problèmes de mémoire. Baisse de 32 % des risques de déchéance mentale (dit comme ça dans le texte). « Les personnes qui pratiquaient peu ou pas d’activité mentale subissaient une déchéance dont la rapidité augmentait de 48 % par rapport au groupe d’une activité mentale moyenne »,
  • La lecture diminue les risques d’Alzheimer.
  • Je rajouterai à titre perso, que lire coûte moins cher qu’une séance de psy ou que d’aller chez le cardiologue, et que ça reste plus économique que tous les frais de déplacement relatifs à la santé (et bien plus rapide pour avoir un RDV aussi).

 

Allez hop, une chronique et on lit !

 

 

Audrey qui vient de trouver sa valeur ajoutée, le 20 avril 2024

 

 

¹ « produire », c’est le mot que je cherchais : c’est toute  la différence entre produire un texte (avec ou sans IA…) et écrire au sens noble du terme

² https://www.levif.be/societe/sante/les-sept-bienfaits-de-la-lecture/

 Consulté le 10/04 à 21:07

(Re)Lire #lachroniquedujeudi 11/01/2024 : « Des mots? Pour quoi faire? »

 

#enthousiasme #loptimisme #naturehumaine

#sexprimer #diresesemotions #direlesmots

#liredelivre #bienfaitslecture #bibliotherapie

#deslivresetdesmots #delivredesmaux

#lachroniquedujeudi #chroniquelitteraire

#auteurindependant #autoedite #valeurajoutee

 

avis lecteurs chronique du jeudi audrey fario

 

Offrez-vous une tasse de lecture le jeudi, 5 heures :

100% gratuit – sans spam – sans engagement

JE M’INSCRIS

 

 

 

 

 

Post a Comment